parentalité positive

A qui s’adresse la parentalité positive ?

Vous êtes convaincus que la parentalité positive est faite pour vous parce qu’elle vous apportera plus d’harmonie, et de coopération dans votre famille.

Bienvenue dans le monde de la parentalité positive et bienveillante ! 

Idées reçues, fausses croyances, mythes

Voici quelques-unes de ces idées reçues et critiques au sujet de la parentalité positive :

  • « Ça ne marche pas »
  • « C’est n’importe quoi »
  • « Moi, quand j’étais petit, j’ai eu la fessée, j’ai reçu des gifles et je les ai méritées… pour autant j’ai réussi ma vie et je n’en suis pas plus traumatisé »
  • « Une fessée n’a jamais fait de mal à personne » ou pire celle-ci je l’ai trouvé sur un blog dont je ne citerai pas le nom « Et une bonne gueulante ou une gifle de temps en temps, voire la fessée d’autrefois, remet les pendules à l’heure. Arrêtez de vous faire dominer et même écraser par vos mômes »
  • « Au secours, j’ai beau répéter, les écouter, c’est plus fort que moi, je n’y arrive pas, ce n’est pas fait pour moi ».

Levez vos doutes sur la parentalité positive :

Personne n’a dit que la parentalité positive était facile. Elle est semée d’embuches et nous mets dans une position inconfortable.

De nombreux parents se posent des milliards de questions existentielles. Envahis de doutes, ils ont envie d’abandonner en cours de route, de jeter l’éponge. En plus, nous nous sentons coupables.

Et pourtant, elle ne culpabilise pas. Au contraire, plus que jamais, la parentalité positive nous responsabilise.

A ceux qui doutent et qui hésitent, j’ai envie de leur demander :

  • Quelles compétences aimeriez-vous que vos enfants cultivent ?
  • Qu’aimeriez vous développer comme forces chez vos enfants ?
  • Sommes-nous toujours un bon modèle pour nos enfants ?
  • Avons-nous pu exprimer nos propres besoins ?
  • Avez-vous envie que vos enfants vous obéissent au doigt et à l’œil pour que la société les reconnaisse comme bien élevés ? N’avez-vous pas envie qu’ils embrassent la vie et s’expriment de manière affirmée, assertive tout en étant respectueux ?

Au nom de l’Amour ? Vraiment ?

Jamais nous ne lèverions la main sur notre collègue ou notre boss ou notre voisin (enfin je l’espère pour vous).

Alors qu’au fond, nous bouillonnons et nous nous retenons. Pourquoi le ferait-on sur nos enfants ? la prunelle de nos yeux ? Au nom de l’Amour ? Parce que c’est pour leur bien ?Pour que qu’il s’en souvienne ?

De même, nous n’envoyons pas non plus la première personne adulte « au coin » sous prétexte qu’il a fait une erreur et qu’il doit réfléchir à son acte.

Si en tant que parent, vous doutez encore, vous résistez pour ne pas vous rendre à l’évidence, alors oui la parentalité positive n’est pas encore faite pour vous…en tout cas pour le moment.

Mais concrètement, comment accéder à cette parentalité positive ?

Soyons conscients de notre vulnérabilité de nos failles de nos faiblesses mais surtout de nos ressources et de nos forces. Quoi qu’il en soit, même si :

  • Vous avez lu beaucoup à ce sujet mais vous n’arrivez pas à mettre en pratique.
  • Vous avez déjà suivi des ateliers mais les résultats n’ont pas duré.
  • Vous avez fini par abandonner en cours de route alors que vous étiez convaincus. 

Si vous avez envie d’aller plus loin et d’investir dans une vie familiale plus épanouie, harmonieuse, ne faites surtout pas l’économie d’un accompagnement de qualité.

Concrètement, il faut voir dans la pédagogie positive, une nouvelle manière d’appréhender l’éducation de nos enfants. C’est un apprentissage qui nécessite du temps pour désancrer nos mauvaises habitudes et ré-ancrer de nouvelles.

Pour vous aider, pensez à quelque chose qui vous tenait à cœur et que vous aviez très envie de maitriser, une langue étrangère, un nouveau sport, la conduite d’une voiture…ne vous a-t-il pas fallu plusieurs heures, jours, mois d’entraînement ???

Vers l’apprentissage d’une nouvelle manière d’éduquer positivement :

Faisons de notre mieux dans ce nouvel apprentissage, dans ce nouveau cheminement qui est propre à chacun en fonction de son histoire, de son vécu personnel.

C’est pour ça nous oeuvrons, en tant que professionnels, pour que vous ne restiez pas seuls face à cette lourde tâche qui la parentalité ?

Si cet article vous a plu et que vous souhaitez en savoir plus sur la parentalité positive, contactez-moi pour faire le point sur votre situation

Si cela peut vous aider à aller plus loin : voici une lecture parmi d’autres basées sur les dernières études scientifiques sur les neurosciences (pour les cartésiens 😉 :

⇒ »Pour une enfance heureuse » de Catherine Gueguen 

Je vous dis à très vite pour d’autres articles sur le sujet.